Autrefois, et ce pendant des siècles, en venant des bourgades la basse vallée de l'Orne, en venant du village de Moyeuvre-la-grande, en montant la montagne, au sommet la côte de gayes, les gens arrivaient sur le plateau. Ils tombaient de suite sur la clairière qu'est "la plaine" de Froidcul. Pour ceux qui allaient au delà des fermes, ils devaient choisir l'un des deux chemins, celui qui va vers Briey soit l'autre qui va vers Avril, Trieux. Le sommet de la côte des gayes formait une "furcula" de chemins, un Y, une fourchette de sentiers.
En descendant vers Moyeuvre-la-grande les habitants pouvaient voir, en face, le vignoble sur le coteau chaud du Tréhémont. Ce vignoble, coté chaud, allait jusqu'aux coteaux de Vitry-sur-Orne, en passant par ceux de Rosselange, Clouange. Le coteau coté Froidcul n'avait pas de vignoble car moins propice à cette culture, il était plus exposé à l'ombre, plus exposé coté froid. Il était donc plutot forestier.
Dans les archives anciennes, à des nombreuses reprises, il est fait mention que les terres agricole du lieudit Froidcul n'étaient pas de très bonnes terres. Parfois il est même dit qu'elles étaient des mauvaises terres. C'étaient des terres froides, pas très productives.
L'origine du nom Froidcul est très certainement encore rechercher mais avec les possibles ci-dessus nous pouvons croire que nous y sommes... à Froidcul.
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